Alors que les réunions de concertation concernant la réforme des critères de certification des diagnostiqueurs immobiliers vont bon train, il est indéniable qu’une forte volonté de renforcer les compétences des professionnels du secteur transparaît dans les perspectives avancées par les organisations professionnelles appelées à contribuer à cette refonte.
Ainsi, il est question de fiabiliser les expertises notamment pour rétablir la confiance entre les prestataires et leur clientèle.
Parmi les nouveautés figurent la fusion des six principaux diagnostics immobiliers en une seule et même certification, comme le prolongement de deux ans supplémentaires de la durée de validité de toute certification.
Mais il est aussi question de CSOG, c’est-à-dire de contrôle sur ouvrage global, directement sur site et dans le cadre d’une situation concrète, surveillance qui a pour objectif de s’assurer que le diagnostiqueur immobilier a bien assimilé les modalités de mise en œuvre de toutes les expertises, dans une procédure qui ne concernait auparavant qu’au cas par cas, le DPE, l’amiante ou le plomb.
Ainsi, il est question de fiabiliser les expertises notamment pour rétablir la confiance entre les prestataires et leur clientèle.
Parmi les nouveautés figurent la fusion des six principaux diagnostics immobiliers en une seule et même certification, comme le prolongement de deux ans supplémentaires de la durée de validité de toute certification.
Mais il est aussi question de CSOG, c’est-à-dire de contrôle sur ouvrage global, directement sur site et dans le cadre d’une situation concrète, surveillance qui a pour objectif de s’assurer que le diagnostiqueur immobilier a bien assimilé les modalités de mise en œuvre de toutes les expertises, dans une procédure qui ne concernait auparavant qu’au cas par cas, le DPE, l’amiante ou le plomb.
Pour ce faire, l’examinateur se rend sur place, au sein d’un bien immobilier sélectionné par l’opérateur soumis à ce contrôle, bâtiment qui doit être éligible à la réalisation de tous les diagnostics immobiliers compris dans le CSOG à savoir, les diagnostics gaz et électricité, l’état d’amiante, le CREP, le DPE et le diagnostic termites.
On peut déjà en déduire que trouver ce type de configuration constituera déjà une première difficulté pour le professionnel contrôlé, à laquelle s’ajoute celle du budget à prévoir pour organiser cette opération dont le prix dépend de l’organisme de certification, avec des tarifs particulièrement élevés puisqu’ils peuvent être de plus de 1 000 € HT de l’heure.
Quant aux avantages de ce contrôle, ils sont intimement liés à l’organisme qui l’opère et plus exactement au bon vouloir de l’examinateur. Aux dires des diagnostiqueurs qui ont fait l’expérience de contrôles sur ouvrage, certains examinateurs vont intervenir avec pour seul objectif de pointer du doigt les erreurs et d’en tirer des conclusions qui peuvent porter préjudice aux opérateurs.
On peut déjà en déduire que trouver ce type de configuration constituera déjà une première difficulté pour le professionnel contrôlé, à laquelle s’ajoute celle du budget à prévoir pour organiser cette opération dont le prix dépend de l’organisme de certification, avec des tarifs particulièrement élevés puisqu’ils peuvent être de plus de 1 000 € HT de l’heure.
Quant aux avantages de ce contrôle, ils sont intimement liés à l’organisme qui l’opère et plus exactement au bon vouloir de l’examinateur. Aux dires des diagnostiqueurs qui ont fait l’expérience de contrôles sur ouvrage, certains examinateurs vont intervenir avec pour seul objectif de pointer du doigt les erreurs et d’en tirer des conclusions qui peuvent porter préjudice aux opérateurs.
Par contre, d’autres sont là pour tirer la profession vers le haut et apporter des conseils structurés et particulièrement efficaces pour améliorer le savoir-faire de l’opérateur, ce qui est de loin ce que souhaitent ces hommes et ces femmes qui ont choisi la voie de la compétence et de l’exigence au sein d’un métier aussi réglementé que celui de diagnostiqueur immobilier.
